visages

 Atelier « Pâte de formes et forme de mots »

Nous vous proposons de rentrer dans l’univers de Traces. Il s’agira de raconter à partir de petits riens, coquillages, pierres, argile, et autres éléments naturels. A partir de créations naturelles, nous nous laisserons évoquer, et tracer…

 

– Un atelier d’une heure parent-enfant est proposé après le spectacle autour de la créativité et de la mise en mots. 
« A partir de leurs peurs et désirs, les participants créent des êtres imaginaires avec des matières naturelles. Ils mettent ensuite en mots leurs créations… »

 

– Un stage autour de la créativité et de l’expression corporelle, « Etres » , est également possible, soit réparti sur 2 jours, soit étalé sur 10 séances d’1h30.
« A partir de leurs peurs et désirs, les participants créent des êtres imaginaires avec des matières naturelles, ainsi que leur habitation. Ils mettent ensuite en mots leurs créations. Puis, ils sont invités à vivre dans leur corps, les êtres, les mots imaginés. Et se déploie, de cette manière, une découverte de l’expression en notre compagnie… Sur le fil d’une histoire racontant leurs êtres et les éléments naturels… ».

 

Cette année une collaboration fut créée avec le CDWEJ (Art à l’école) pour travailler avec des 3e maternelles de Gembloux autour du Land’Art et de Traces. En a  découlé une présentation du travail le 8 mai 2015 à l’Eden de Charleroi, et au Centre culturel de Gembloux dans le cadre des rencontres Théâtre et Ecriture à l’école.

 

Article de journal sur les ateliers donnés: http://www.lavenir.net/cnt/dmf20150512_00648305
« La maison de village avennoise vient d’être le théâtre, c’est le cas de l’écrire, d’une animation théâtrale d’enfants de qualité mobilisant avec pertinence et générosité leurs désir et plaisir de créer. Sans ne mettre pour autant que l’imagination au pouvoir. Plutôt même la réalité mais en la regardant de plus près. Et avec des yeux et des mains de poète…
Isabelle Colassin, qui jouit aussi d’une formation pédagogique, a animé cet atelier destiné à créer d’autres traces. À l’aide aussi d’objets cueillis dans la nature, elle «divinisait» les petits participants en les instiguant à créer des êtres issus de leur inspiration immédiate. «J’aime leur ouvrir les portes de leur expression, avoue-t-elle, et je suis toujours étonnée, émerveillée par les délicieuses surprises qu’ils me réservent». C’est déjà toute une histoire mais, rendus vivants, les êtres créés doivent ensuite devenir les personnages d’une autre histoire. Les enfants entrent alors en scène et les voilà à leur tour devant le défi théâtral mais avec des atouts poétiques de taille. Et, rayon amusement, les plus jeunes sont loin de faire cavalier seul. Leurs parents entrent dans la danse des mots dont la comédienne est la discrète mais enthousiaste chorégraphe. Jamais peut-être le générique Eclos (i) ons appliqué à 6 spectacles ne s’est-il mieux justifié que cet après-midi-là ». L’Avenir, 13 mai 2015